Affiche Jazz en Tech 2025

10ème anniversaire

Cet anniversaire, c’est l’occasion pour le festival de recevoir sur scène les plus belles musiciennes et chanteuses, les plus passionnants
musiciens et donc de s’honorer en offrant ces beaux cadeaux à toutes celles et tous ceux qui aiment le jazz… depuis dix ans ou peut- être même depuis leurs « dix ans. »
Tout commence au cloître de Saint-Genis-des Fontaines dimanche 27 juillet avec un concert donné dans le cadre de l’année du Brésil en
France : le quartet de la chanteuse Manu le Prince, qui vit entre Paris et Rio de Janeiro, nous livrera quelques trésors de la musique brésilienne avec sa fougue et le talent qu’on lui connaît. Le lendemain, c’est le clarinettiste virtuose Florin Gugulica bien connu des Catalans qui occupera la scène à la tête d’un sextet, pour une création où le jazz et les musiques du monde feront la fête ensemble pour le plus grand plaisir du public.
Céret est devenu depuis 3 ans le cœur du festival. L’excellentissime saxophoniste Stefano Di Battista sera ainsi à l’honneur en ouvrant la
scène à Céret, capitale de tous les arts depuis plus d’un siècle, le 7 août, place de la République. Il le fera avec des musiques de la « Dolce Vita », le film de Federico Fellini. Ce qui ajoutera à la magie du jazz, celle du cinéma le plus créatif. Et aussi l’enthousiasme de la culture italienne avec tous les thèmes de cette musique que nous sommes si nombreux à aimer.
Il sera suivi vendredi 8 août du pianiste Jacky Terrasson qui, pour l’occasion, invite la chanteuse Camille Bertault, l’une des chanteuses les plus passionnantes qui soit. A n’en pas douter, un quartet d’exception conduit par deux stars du jazz européen.
Autre chanteuse pour clore les concerts céretans, Charlotte Planchou, « une chanteuse pas comme les autres » se plait à rappeler Jazz
Magazine. Après avoir chanté l’opéra, elle consacre dorénavant son répertoire à la chanson française sans oublier Nina Simone et Ella Fitzgerald. « Révélation de l’année » pour L’académie du jazz, nous sommes très heureux de l’avoir convaincue de clore la 10ème édition du festival.
Jazz en Tech nous promet ainsi cinq soirées de rêve et d’enchantement à des tarifs très raisonnables, mais aussi des concerts gratuits en
fin de matinée et d’après-midi entre le 6 et le 9 août avec d’excellents musiciens régionaux. Des moments où « la vie est douce », émouvante, joyeuse. Quand elle bat au rythme du jazz.

Alain Brunet, président de Jazz en Tech

Pour nous rejoindre, privilégiez les mobilités douces.

Jazz en Tech participe contre les violence faites aux femmes.

Devenez Bénévole à Jazz en Tech

 

Un festival, et surtout un festival de jazz fonctionne avec la passion de bénévoles qui en sont le carburant.
Jazz en Tech est un festival ambitieux dans sa programmation et modeste dans sa structure alors si vous souhaitez nous épauler, vous serez les bienvenus.
Nous avons des missions d’implications variées à vous proposer.

Contactez-nous au : 06 08 75 87 67 ou le formulaire de contact

Manu Le Prince Quartet « Bossa Jazz for Ever »

Dimanche 27 juillet – 21 h
Cloître de Saint-Génis-des-Fontaines

Manu Le Prince – chant
Franck Monbaylet – piano
Philippe Brassoud – contrebasse
Christophe Bras – batterie

Chanteuse sans frontières, Manu Le Prince a su s’imposer au fil des années comme l’une des plus belles voix du Latin Jazz de l’hexagone… Brésilienne de cœur et anglo-argentine de par ses origines, elle se partage depuis plus d’une trentaine d’années entre Paris et Rio-de-Janeiro, mêlant intimement et avec bonheur le Jazz qui a bercé son enfance à la musique brésilienne, tout particulièrement celle de Tom Jobim. Manu Le Prince a fait partie de diverses formations (dont Magma, Odeurs ou Urban Sax) et a aussi à son actif plusieurs albums sous son nom, et comme un bonheur n’arrive jamais seul, son album « Bossa Jazz for Ever » vient d’être réédité par Frémeaux et sera en vente à Saint-Génis-Des-Fontaines.

« Manu Le Prince […] immense chanteuse de jazz rend ici hommage à Johnny Alf, père de la bossa […] Manu Le Prince, […] qui a mis en lumière les répertoires de monuments du Jazz tels que Cole Porter ou Wayne Shorter, rend grâce à un artiste incontournable sur l’album qui a été enregistré à Rio avec les meilleurs musiciens du cru – dont le saxophoniste arrangeur de Johnny, Idriss Boudrioua et le grand batteur Rafael Barata – en 2013. La voix suave et jazzy de la chanteuse sublime le répertoire du compositeur carioca et rend justice à son œuvre fondamentale. » Augustin Bondoux/ Frémeaux.

Manu Le Prince, un trésor de la musique brésilienne conçu en France – Telerama

Florin Gugulica Sextet « It’s a long Way »

Lundi 28 juillet – 21 h
Cloître de Saint-Génis-des-Fontaines

Florin Gugulica – clarinette
José Moléro – trombone
Gwenaël Ollivier – piano
Olivier Lorang – contrebasse
Arnaud Le Meur – batterie
Avec la participation d’Alain Brunet – Trompette

Au gré de musiques entendues, découvertes, croisées, inattendues, parfois oubliées, ou encore jouées avec les plus grands du jazz tels que Didier Lockwood, Bireli Lagrène, Stochelo Rosenberg, Hono Winterstein, Diego Imbert, Norig, Rona Hartner, Florin Gugulica nous embarque dans son univers musical aux horizons multiples et colorés. Il crée, recrée, ré-interprète ou compose, entouré de brillants jazzmen qu’il a choisis pour constituer son nouveau Sextet.

Des musiques de tous horizons, genres et influences qui ne semblent en rien se ressembler ni se répondre : le ‘taraf’ aussi bien tzigane que balkanique de son enfance roumaine avec, en tête, la fanfare joyeuse et conviviale toujours source de danse populaire, le jazz manouche où grâce à Django se fondent l’émotion de l’Europe centrale, le jazz d’outre-Atlantique de l’après-guerre et la joie du bal musette français. Et bien d’autres encore, d’Europe comme d’Orient, à découvrir jusque par-delà le swing …

Florin Gugulica n’a de cesse de tisser « sa » musique, celle de « son » monde. Son unité n’est ni de lieu ni de temps ni d’action : elle vient de l’intérieur, de ‘son’ intime vie pour mieux s’instiller en miroir harmonieux de « la vôtre ».

Stefano Di Battista « La Dolce Vita »

Jeudi 7 août – 21 h
Place de la République – Céret

Stefano Di Battista – saxophone
Fred Nardin – piano
Daniel Sorrentino – contrebasse
Luigi del Prete – batterie
Matteo Cutello – trompette

Stefano Di Battista débute le saxophone à l’âge de treize ans et suit une formation académique avant de commencer à jouer des musiques de variété. La rencontre avec Massimo Urbani, saxophoniste alto italien marqué par le feu parkérien, joue un rôle déterminant dans son ambition à devenir un musicien de jazz. Encouragé à se rendre à Paris par le pianiste Jean-Pierre Como, il séduit rapidement plusieurs musiciens de la capitale française qui lui mettent le pied à l’étrier, comme le pianiste star Michel Petrucciani, le batteur Aldo Romano et le chef d’orchestre Laurent Cugny. Même s’il est, dès lors, surtout actif en France, il maintient des liens étroits avec la communauté des jazzmen italiens, enregistrant notamment avec ses compatriotes Enrico Rava (1996), Rita Marcotulli (1998), Daniele Scannapieco (2003) et Dario Rosciglione (2004).

Fort de son succès public avec plus d’une trentaine de concerts français en quartet, il s’attelle désormais à un nouveau répertoire avec son groupe transalpin, sur un nouvel album intitulé La Dolce Vita (mars 2024). Amoureux de la mélodie, magicien du timbre, Stefano Di Battista fait résonner sous un nouveau jour les thèmes rendus célèbres par Paolo Conte, Andrea Bocelli, Lucio Dalla, tout en faisant honneur à des compositeurs comme Renato Carosone ou Armando Trovajoli.

Bien plus qu’un simple titre de film, La Dolce Vita nous fait pénétrer dans un univers de passion, de style, de désir, de beauté… Stefano Di Battista met en lumière la splendeur de la grande musique italienne d’hier pour le public d’aujourd’hui, afin de la rendre éternelle.

 

Jacky Terrasson Trio « Moving On » invitée spéciale Camille Bertault

Vendredi 8 août – 21 h
Place de la République – Céret

Jacky Terrasson – piano
Sylvain Romano – contrebasse
Lukmil Perez – batterie
Camille Bertault – voix

Après des études de piano classique, Jacky Terrasson intègre le Berklee College of Music et remporte en 1993 le prestigieux Prix du Thelonious Monk Institute of Jazz International Piano Competition. C’est aux côtés de Betty Carter, Dee Dee Bridgewater, Cassandra Wilson, ou encore Charles Aznavour, Guy Lafitte, Barney Wilen et Ray Brown qu’il débute sa carrière. Il signe avec le légendaire label Blue Note et son emblématique président Bruce Lundvall, pour une longue et impressionnante aventure de 25 ans de succès. Infatigable globe-trotter, il joue régulièrement dans les plus grands festivals de jazz et de piano en Europe, aux Etats-Unis, en Amérique du Sud et en Asie.

« Moving On » le titre du nouvel album de Jacky Terrasson résume parfaitement les nouvelles aspirations « du plus voyageur des pianistes de jazz, un pianiste du bonheurTelerama

Après une formation au conservatoire, Camille Bertault obtient un prix de piano classique et étudie l’opéra, le théâtre et la danse. Inspirée par un père passionné de jazz, elle se tourne vers le chant jazz et l’improvisation au Conservatoire de Paris. En 2016, elle est repérée par le label new-yorkais Sunnyside Records, qui distribue son premier album En vie et lui ouvre les portes de la scène jazz new-yorkaise. C’est là qu’elle rencontre Dan Tepfer, Michael Leonhart, Jeff Ballard et Joe Sanders, avec lesquels elle enregistre sous le label Sony France son deuxième album Pas de Géant en 2018. Elle entame alors une tournée internationale et sort en 2020 son troisième album, Le Tigre, suivi de Playground, en collaboration avec David Helbock. En 2023, avec son cinquième album, Bonjour mon amour, elle remporte une Victoire du Jazz.

Un sens du rythme d’une précision stupéfiante, une justesse infaillible, un phrasé sensuel et rieur, une culture jazz – et classique – qui s’exprime à chaque instantJazz Magazine

Charlotte Planchou Quartet

Samedi 9 août – 21 h
Place de la République – Céret

Charlotte Planchou – voix
Dexter Goldberg – piano
Thomas Posner – contrebasse
Pierre Demange – batterie

Prix Évidence de l’Académie du Jazz (Révélation de l’année) en mars 2025

Charlotte Planchou est incontestablement une chanteuse pas comme les autres. Une heure de musique gracieuse et habitée ça ne se refuse pas. On n’a pas fini de parler de Charlotte Planchou – Jazz Magazine

Charlotte Planchou intègre d’abord la Haute École de Musique de Lausanne, dans les classes de chant lyrique, où elle se passionne pour le lied allemand. Entre 2015 et 2016, elle intègre la compagnie Opéra Eclaté et parcourt les maisons d’opéra françaises, avant de se tourner vers d’autres répertoires en allant puiser dans le jazz, la chanson, les chansons traditionnelles tziganes ou le cabaret allemand. Elle souhaite « ouvrir » le son du chant, jouer avec ses défauts, laisser vivre sa spontanéité. La liberté, elle la trouvera dans le jazz, autour d’Ella Fitzgerald et Nina Simone, mais aussi auprès de Léo Ferré, Henri Salvador ou Édith Piaf. Encouragée par le mécène Peter Schnur à composer ses propres chansons originales, elle mêle tout naturellement dans son répertoire ses compositions et textes en français à des reprises de Gainsbourg, Ferré et Michel Legrand.

 

Billetterie Jazz en Tech 2025

Vente de billets en ligne

Egalement auprès des Offices de Tourisme et sur site à l’entrée des concerts.